1001 raisons d’écouter des contes

1. C’est MAGIQUE!
2. Plus fort que le cinéma et la télévision, on devient auteur de son propre film en écoutant un conteur.
3. Ce n’est pas que pour les enfants !
4. Ma grand-mère me racontait aussi des histoires quand j’étais petit, j’aimais beaucoup, surtout celle du berger…
5. Les Raconteries Nantaises, une belle idée, des soirées charmantes et paisibles.
6. Juste une voix pour nos oreilles.
7. Les conteurs sont des gens simples qui s’effacent derrière leurs histoires.
8. C’est incroyable, on y était là au Maroc, au milieu de ce souk, j’ai tout vu, les couleurs et l’odeur des épices, le bruit et les babouches… j’ai tout vu. Magnifique.
9. Pas de fioriture ni de grand tralala, la force d’une voix parlée nous entraîne loin dans l’imaginaire.
10. Chaque séance de conte est différente de la veille, une même histoire est racontée d’une autre façon… la météo, le lieu, le public, la forme du conteur sont autant d’éléments qui feront que l’histoire sera unique au moment même où elle arrive dans nos oreilles.
11. On vit l’instant présent.
12. Un grand moment de partage !
13. Venir, arriver, s’assoir confortablement et savoir qu’on va nous raconter des histoires, c’est déjà partir dans un ailleurs.
14. C’est un voyage unique vers un univers extraordinaire.
15. On entre dans les histoires, comme on mangerait un bon pain qui sortirait du four du boulanger. L’odeur particulière, la croûte dorée qui craque sous nos doigts, la mie si tendre et encore tiède, et quand on le porte à notre bouche, ce délice inexplicable… Et pourtant il n’est fabriqué qu’à partir de farine d’eau et de sel. Le conteur, c’est le boulanger des histoires, lui seul sait mélanger les ingrédients, les travailler à point pour les offrir à nos oreilles alléchées.
16. On me raconte une histoire et je souris, mon voisin souris aussi, on sourit tous ensemble, et pourtant chacun de nous a une vision de l’histoire différente, quelle richesse…
17. Que ce soit clair pour tous, ici le conteur n’est pas lecteur, ni diseur, ni récitant, ni comédien, ni slameur, ni chanteur, ni musicien, ni danseur… ! Il a juste le talent fou d’avoir la capacité rien qu’avec sa voix parlée de nous embarquer dans le monde imaginaire.
18. Le conte aujourd’hui est un mot bien galvaudé, on l’emploie pour tout et n’importe quoi, ici enfin un espace où il reprend sa vraie valeur.
19. Dixit Wikipédia : Étymologiquement « conte » vient du latin computare qui signifie « dénombrer », « tenir une liste ». Initialement le conte est un récit qui se transmet dans le temps par le biais de l’oralité.
20. « Le conte ce n’est pas un art du spectacle, c’est un art de la relation » Henri Gougaud, grand conteur français.
21. Écouter une histoire : Le plus simple des plaisirs.
22. Chaque conteur a son style, son répertoire.
23. On vient une fois pour voir, par curiosité, parce qu’on ne connait pas et on revient avec envie.
24. Addiction envisageable !
25. Si on arrive seul et triste, on repart avec l’esprit plus léger, heureux d’avoir vécu ce moment singulier.
26. L’ambiance est conviviale, on parle avec son voisin, sans timidité, tout le monde est là pour une seule chose : partir pour un grand voyage imaginaire.
27. C’est un truc de dingue que d’écouter un conteur.
28. Public septique : venez écouter au moins une fois, poussez la porte… et on en reparle.
29. J’avais envie de sortir, mais pas assez d’argent pour aller au Zénith, j’ai vu les Raconteries Nantaises dans l’agenda, je me suis dit pourquoi pas…
30. J’ai accompagné une copine, sans grand enthousiasme et j’avoue, c’était extra.
31. Le conteur est un amateur au sens étymologique du terme, un être qui aime.
32. Je suis contente je viens d’arriver à Nantes, là où j’habitais avant il y avait souvent des séances de contes, merci la Cie La plume d’Or de proposer toutes ces séances
33. Belle initiative que de réunir des conteurs talentueux.
34. C’est bon maintenant on connait le chemin.
35. On m’a invité, je regrette pas.
36. Je connais un des conteurs. Il est super.
37. Elle, elle m’avait trop fait marrer avec son histoire de vieille femme.
38. Ici il y a aussi des conteuses, mais c’est trop long d’écrire « un(e) conteur(euse) » alors on se rabat à l’écrit sur la règle de grammaire qui dit que le masculin l’emporte sur le féminin. J’ai bien un conte sous le coude qui vous prouverait le contraire, mais ça c’est une autre histoire… on ne va pas se fâcher pour de la grammaire quand même.
39. J’ai l’impression d’être en vacances d’été, souvent on en voit des conteurs dans les rues.
40. Soirée sympa !
41. Le conte, ce n’est pas que la Belle au bois dormant, Cendrillon et Blanche Neige voyons ! La Cie la Plume d’Or est là pour vous convaincre qu’il y a des tas d’autres histoires dans ce monde.
42. Une soirée de contes coquins vous tente ? public adulte uniquement.
43. Trop flippantes les histoires d’extra-terrestres.
44. Je ne regarderai plus les loups de la même façon…
45. Trois pommes tombèrent du ciel :
      Une pour le conteur
      Une pour celui qui écoute
      Une pour celui qui a entendu
      Proverbe arménien
46. Le conteur est celui qui ouvre les portes de l’imaginaire, déroule le récit comme un tapis de sable ou de pierre, dans sa voix les histoires s’enchevêtrent comme des petits ruisseaux pour finir fleuve immense. On ne sait plus, en écoutant les conteurs, si l’on remonte le temps ou si on le descend. Nacer Khemir, conteur
47. Autrefois, on apprenait le monde… par la parole… autour du feu, sur les places de village, avec les adultes et les enfants, chacun comprenait ce qu’il pouvait. Aujourd’hui, l’internet est omniprésent, on vit derrière des écrans… et la parole a malheureusement perdu de sa superbe.
48. Les contes donnent du sens à notre existence, répondent aux peurs et aux angoisses, amusent libèrent.
49. Écouter une histoire, c’est marcher à l’intérieur de soi-même.
50. Le conte est nomade… s’adapte à ceux qui l’écoutent.
51. Le conteur est un passeur de parole.
52. Le conteur est un rassembleur.
53. Le conteur est un amateur au sens étymologique du terme, un être qui aime.
54. J’aurai jamais pensé que le petit chaperon rouge pouvait être aussi drôle
55. Ça fait du bien !
56. Waa c’est une soirée où on en prends plein les oreilles et ce qui est génial c’est qu’on n’a pas la tête dans un étau de décibels quand on sort de ces veillées, au contraire elle est rempli de superbe images des histoires qu’on vient de vivre.
57.Les mots ont le pouvoir de détruire et de soigner, lorsqu’ils sont justes et généreux, ils peuvent changer le monde. Bouddha
58. D’abord le calme se fait… et après.. mais chut le conte a commencé…
59. Quand j’étais petite, on allait chez ma grand-mère. Dans la salle principale, une grande table entourée de chaises, où l’on mangeait avec toute notre grande famille, et à côté la cheminée où l’on se retrouvait l’après-midi ou après le repas du soir autour d’une tisane. En automne on faisait griller les châtaignes, dans la poêle à trous bien-sûr, hum quelle bonne odeur, on les dégustait ensuite tous ensemble, et les pelures étaient directement jetées au feu. Et on papotait, papotait, papotait… de la famille des voisins, du mauvais temps qui nous obligeait à rester à l’intérieur, pas une grande obligation en fait…. on se racontait des histoires, souvent les mêmes… mais c’est ça qui était bien, ce lieu, le feu dans l’âtre, l’odeur, la famille et les histoires. Ah oui et au goûter ma tante faisait du chocolat chaud, vous savez avec le chocolat en tablette fondu doucement dans le lait des vaches de la ferme, plein de crème et de peau… beurk, mais sans la peau c’était délicieux ! Et on papotait encore, enfin moi j’écoutais les papotes et les histoires en regardant le feu dans la cheminée…
60. La parole n’a pas de jambes, mais elle voyage.
61. Qu’est-ce qui dure toujours à la fois visible et invisible, aussi petit qu’un point dans l’espace et aussi vaste que l’océan ? devinette écossaise
62. « Le conte c’est quelque chose de faux qui à force d’être raconté devient vrai. »  Claude Seignolle conteur
63. « – Grand-Père, pourquoi tu commences toujours tes histoires par il était une fois?
-Pour être sûr de ne pas me tromper de date… » Claude Duneton, Colloque Mondoral
64. Se laisser aller et ne pas avoir des priori, être curieux, voilà ce qu’il faut pour venir aux Raconteries, car les contes ce n’est pas que pour les enfants ! Preuve en est ! et il y a 17 veillées, c’est pas rien, bravo !
65. La séance des Contes en Campagne, avec Valérie était un moment vraiment épatant. Dès le début elle nous a plongé dans sa campagne, on voyait tout, les maisons, la place du village, les habitants, la vie là bas. On a rit, on a sourit, été séduit, et on s’est laissé avec bonheur guidé par sa voix.
66. Zen drôle émouvant…  on passe d’un état à un autre d’une histoire à l’autre ou tout dans une même histoire.
67. Les mots, « ces passants mystérieux de l’âme », sont de grands magiciens et de redoutables entraîneurs de foules. Raymond Poincaré
68. La planète n’a pas besoin davantage de gens à succès. La planète a désespérément besoin de pacifistes, de guérisseurs, de restaurateurs, de raconteurs d’histoires et d’amoureux de toute sorte, a dit le Dalaï Lama dans une allocution.
69. “Une des fonctions essentielles du conte est d’imposer une trêve au combat des hommes.” Daniel Pennac 

 

à suivre…
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